La fin du monde est un concept sans avenir.

Paul Virilio

Paysage d’événements 2016 – 2024

Ce qui arrive

PAUL VIRILIO – peintre, urbaniste, philosophe

Urbaniste et philosophe (1932/2018), Paul Virilio déclare que ses deux universités ont été « la guerre et l’art ». Tout d’abord peintre puis maitre verrier, il suit en auditeur libre les cours de Jankélévitch, Merleau Ponty, Louis de Broglie, René Thom… Dès 1953, et durant 10 ans, il travaille au projet Bunker Archéologie (qui fera l’objet d’une exposition au CCI en 1975).
Il fonde en 1963, le groupe Architecture Principe et la revue éponyme. En 1968, il devient professeur à l’École Spéciale d’Architecture et y enseignera pendant 29 ans. En 1972, il créé avec le sociologue Jean Duvignaud, la revue Cause Commune que rejoindra bientôt son ami Georges Perec, et collabore, entre autres, aux revues Esprit (avec J.-M. Domenach et M. Foucault), Traverse, L’autre Journal….

Il publie son premier essai, L’Insécurité du territoire, en 1976.
Auteur de plus de vingt livres, il devient directeur de programme au collège de Philosophie avec Derrida. Il écrit des chroniques et de nombreux articles pour les presses françaises et étrangères : Le Monde diplomatique, Critique, Les Cahiers du Cinéma, Le Nouvel Observateur, El Païs (Espagne), Die Tageszeitung (Allemagne), The New Statesman (Grande-Bretagne), Artforum (USA), Gaya Scienza (Japon), etc.
Sa collaboration avec la Fondation Cartier initiée par l’exposition Vitesse se poursuivra jusqu’à la fin de sa vie, avec Ce qui arrive, Terre Natale, ailleurs commence ici, Exit… Reconnu comme étant le père de la Dromologie, ses œuvres sont traduites dans 35 pays.

The urban planner and philosopher Paul Virilio (1932/2018) once declared that both his universities had been « war and art ». Initially a painter and a stained glass-master, he was an auditor at the courses of Jankélévitch, Merleau Ponty, Louis de Broglie, René Thom, etc. For 10 years from 1953 on, he worked on the “Bunker Archéologie” project (which was the subject of an exhibition at the CCI in 1975).
In 1963, he founded the group Architecture Principe and the eponymous magazine. In 1968, he became a professor at the École Spéciale d’Architecture, where he taught for 29 years. In 1972, together with sociologist Jean Duvignaud, he founded the newspaper Cause Commune, soon to be joined by their friend Georges Perec, and contributed to the newspapers Esprit (with J.-M. Domenach and M. Foucault), Traverse and L’autre Journal, among others…

He published his first essay, L’Insécurité du territoire, in 1976. The author of more than twenty books, he became program director at the Collège de Philosophie with Derrida. He wrote columns and numerous articles for the French and foreign press: Le Monde diplomatique, Critique, Les Cahiers du Cinéma, Le Nouvel Observateur, El Païs (Spain), Die Tageszeitung (Germany), The New Statesman (UK), Artforum (USA), Gaya Scienza (Japan), and more.
His collaboration with the Fondation Cartier, which began with the exhibition Vitesse, continued until the end of his life, with Ce qui arrive, Terre Natale, ailleurs commence ici, Exit… Praised as the father of Dromology, his works have been translated in 35 countries.

Urbaniste et philosophe (1932/2018), Paul Virilio déclare que ses deux universités ont été « la guerre et l’art ». Tout d’abord peintre puis maitre verrier, il suit en auditeur libre les cours de Jankélévitch, Merleau Ponty, Louis de Broglie, René Thom… Dès 1953, et durant 10 ans, il travaille au projet Bunker Archéologie (qui fera l’objet d’une exposition au CCI en 1975).
Il fonde en 1963, le groupe Architecture Principe et la revue éponyme. En 1968, il devient professeur à l’École Spéciale d’Architecture et y enseignera pendant 29 ans. En 1972, il créé avec le sociologue Jean Duvignaud, la revue Cause Commune que rejoindra bientôt son ami Georges Perec, et collabore, entre autres, aux revues Esprit (avec J.-M. Domenach et M. Foucault), Traverse, L’autre Journal….
Il publie son premier essai, L’Insécurité du territoire, en 1976.
Auteur de plus de vingt livres, il devient directeur de programme au collège de Philosophie avec Derrida. Il écrit des chroniques et de nombreux articles pour les presses françaises et étrangères : Le Monde diplomatique, Critique, Les Cahiers du Cinéma, Le Nouvel Observateur, El Païs (Espagne), Die Tageszeitung (Allemagne), The New Statesman (Grande-Bretagne), Artforum (USA), Gaya Scienza (Japon), etc.
Sa collaboration avec la Fondation Cartier initiée par l’exposition Vitesse se poursuivra jusqu’à la fin de sa vie, avec Ce qui arrive, Terre Natale, ailleurs commence ici, Exit… Reconnu comme étant le père de la Dromologie, ses œuvres sont traduites dans 35 pays.

The urban planner and philosopher Paul Virilio (1932/2018) once declared that both his universities had been « war and art ». Initially a painter and a stained glass-master, he was an auditor at the courses of Jankélévitch, Merleau Ponty, Louis de Broglie, René Thom, etc. For 10 years from 1953 on, he worked on the “Bunker Archéologie” project (which was the subject of an exhibition at the CCI in 1975).
In 1963, he founded the group Architecture Principe and the eponymous magazine. In 1968, he became a professor at the École Spéciale d’Architecture, where he taught for 29 years. In 1972, together with sociologist Jean Duvignaud, he founded the newspaper Cause Commune, soon to be joined by their friend Georges Perec, and contributed to the newspapers Esprit (with J.-M. Domenach and M. Foucault), Traverse and L’autre Journal, among others…
He published his first essay, L’Insécurité du territoire, in 1976. The author of more than twenty books, he became program director at the Collège de Philosophie with Derrida. He wrote columns and numerous articles for the French and foreign press: Le Monde diplomatique, Critique, Les Cahiers du Cinéma, Le Nouvel Observateur, El Païs (Spain), Die Tageszeitung (Germany), The New Statesman (UK), Artforum (USA), Gaya Scienza (Japan), and more.
His collaboration with the Fondation Cartier, which began with the exhibition Vitesse, continued until the end of his life, with Ce qui arrive, Terre Natale, ailleurs commence ici, Exit… Praised as the father of Dromology, his works have been translated in 35 countries.